Mariam Slimoun
Projet de thèse
J’ai obtenu ma Licence en archéologie et histoire des mondes anciens en 2004 à l’Université de Damas. Pendant mes études j’ai fouillé avec plusieurs missions archéologiques en Syrie : avec la mission syro-allemande à Al-Mushrefa (Qatna), site de l’Âge du Bronze ; avec la mission syro-anglaise à Al-Qaryatein (Deir Mar Ilyan), monastère byzantin ; avec la mission syrienne à Amrit, site de l’Âge du Bronze.
Dans le cadre de ma Maîtrise en archéologie et histoire des mondes anciens à l’Université Lyon 2, j’ai mené un mémoire sous la direction du Prof. Jean-Baptiste Yon intitulé « La femme palmyrénienne à travers les monuments et les inscriptions » (2011). J’ai ensuite obtenu un Master en archéologie à l’Université de Lyon en 2013 avec un mémoire intitulé « La représentation de la femme à Palmyre durant l’Antiquité. Étude comparative », sous la direction du Prof. Pierre-Louis Gatier. Dans le cadre de ces études, j’ai également suivi des cours de langues anciennes comme le grec et le syriaque, utiles à la lecture et l’analyse des sources textuelles.
Depuis 2015, je suis au bénéfice d’une Bourse d’excellence de la Confédération suisse pour chercheurs étrangers attribuée par la Commission fédérale des bourses pour étudiants étrangers (CFBE).
Mon projet de thèse, démarré en 2015 sous la direction du Prof. Hédi Dridi (Université de Neuchâtel) et la co-direction du Prof. Jean-Baptiste Yon (Université Lyon 2), vise à étudier « la mobilité des Palmyréniens » durant l’Empire romain. Pour cela, les sources épigraphiques, archéologiques, littéraires et numismatiques seront prises en compte.